lundi 28 octobre 2013

Ce qui demeure

A Tokyo, elles étaient poétiques. 
A Bruxelles, elles me fournissaient en photos, en vieux papiers, en matière à inspiration.

Les poubelles de ma vie continuent d'être belles.
(l'autre soir, c'est un fauteuil qui m'y tendait les bras) 

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