lundi 27 juin 2016

Le nombril du monde (fragments d'insularité)

Toute cette zone, avec ses chalets d'été complètement fermés, ses vergers couverts de neige, ses canots échoués est, maintenant, beaucoup plus belle qu'en été. En été, elle est remplie de gens. Je ne suis pas ennemi des relations mondaines mais c'est en hiver que se vit la véritable vie. Du moins, c'est ce que moi, j'entends par vie, mauvaise ou bonne, animée ou isolée.
Traduction libre d'un extrait de la traduction en espagnol de Jesús Pardo de Mort d'un apiculteur de Lars Gustafsson
Tu ne crois pas ? me demanda Alberto qui venait de me dire que non, il ne partait jamais de Majorque à cette saison parce qu'il n'y avait aucun endroit plus agréable où passer l'été. 
Si le monde entier n'était pas déjà de son avis
alors
je pourrais le partager. 

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